It took the barbaric assassination of former Prime Minister Harari to re-invigorate the yearning and desire for freedom on the part of the opposition and much of the Lebanese people, and, above all, to awaken the quiescent conscience of the European Union which had left the Lebanese people for years at the mercy of Syrian domination.
Il aura fallu l’assassinat barbare de l’ancien Premier ministre Hariri pour ranimer les aspirations et le désir de liberté de l’opposition et d’une grande partie du peuple libanais et, surtout, pour réveiller la conscience tranquille de l’Union européenne qui, pendant des années, a laissé le peuple libanais à la merci de la domination syrienne.