In drawing up the Report, the Commission will rely on a variety of sources of information, including existing monitoring mechanisms (GRECO, OECD, UNCAC), independent experts, research findings, Commission services and the European Anti-Fraud Office (OLAF), Member States, EU agencies such as Europol and Eurojust, the European Anti-Corruption Network, Eurobarometer surveys and civil society[26].
Pour établir le rapport, la Commission s'appuiera sur diverses sources d'information, dont les mécanismes de surveillance existants (GRECO, OCDE, UNCAC), des experts indépendants, des conclusions de recherches, les services de la Commission et l'Office européen de lutte antifraude (OLAF), les États membres, des agences européennes comme Europol et Eurojust, le réseau européen de lutte contre la corruption, des études Eurobaromètre et la société civile[26].