We can see very clearly that the European economy is continuing to lose its strength, and that, within the eurozone, recovery, where it has occurred or has had a beneficial influence on growth, is primarily attributable to a steep rise in exports, while domestic demand has sunk as a result of low levels of private consumption over several quarters.
On perçoit nettement un ralentissement prolongé de l’économie européenne. De plus, au sein de la zone euro, la reprise - lorsqu’elle a eu lieu ou lorsqu’elle a eu une influence positive sur la croissance - est avant tout le fait d’une forte hausse des exportations, alors que la demande intérieure a été négative en raison de la faible consommation privée pendant plusieurs trimestres.