Thus, we Latvians, having over many years lost our revenue, competitiveness and, possibly, quality of society, saved the banking sector of the Scandinavians and other investors, at least in the Baltic States, since the domino effect in the event of banks failing would go far beyond Latvia’s borders and would reach as far, let us say, as Scandinavian pension funds, as the banks’ shareholders.
Ainsi, c’est nous, les Lettons, qui, des années durant, avons perdu nos revenus, notre compétitivité et, peut-être, notre qualité de société, qui avons sauvé le secteur bancaire des Scandinaves et d’autres investisseurs, du moins dans les États baltes, parce que l’effet de domino en cas de faillite bancaire aurait vite dépassé les frontières de la Lettonie et aurait pu se faire sentir jusqu’à toucher, disons, les fonds de pension scandinaves, en tant qu’actionnaires des banques.