But in April of this year, a media investigation revealed that the civilian intelligence service, the DAS, which answers directly to the Colombian president and was the agency responsible for providing bodyguards and other protection to human rights defenders, has for at least seven years carried out a massive illegal espionage operation—including surveillance and wiretapping—against human rights defenders and others, including opposition politicians, judges, and journalists, with an aim to “restrict or neutralize their work”.
Or, en avril dernier, une enquête des médias a permis de révéler que, depuis au moins sept ans, le service civil de renseignements, qui relève directement du président de la Colombie et à qui il incombe de fournir les gardes du corps aux défenseurs des droits de l'homme et de prendre les diverses mesures destinées à assurer leur protection, menait une vaste opération illégale d'espionnage — surveillance, écoute téléphonique, etc. — contre les défenseurs des droits de l'homme et de nombreuses autres personnalités, dont des politiciens, des juges et des journalistes, le tout dans le but d'en restreindre ou d'en neutraliser le travail.