The senseless belief that liberalisation is effective, not to say perfect, has created short-sightedness with regard to the future, devalued public action and public services, condemned those who believe in the need for long-term public investment and divided funding, excluding general interest and the positive or negative effects of decisions taken in the short term.
La croyance insensée dans la performance, sinon la perfection du libéralisme, a créé une myopie quant à l'avenir, a dévalorisé l'action publique et les services publics, a culpabilisé ceux qui croient en la nécessité des investissements publics à long terme et a sectorisé les comptabilités en excluant l'intérêt général et les effets induits, positifs ou négatifs, des décisions prises à court terme.