NWAC’s fuller response to Bill C-44 also criticized the absence of an “essential” interpretive provision “to safeguard important collective rights while balancing the rights of individuals”. It viewed the bill’s six-month transition period as inadequate to prepare communities for application of the CHRA, and “[cautioned] the government to slow down and ensure that this is done right,” since “this action may actually hurt more Aboriginal women than it will benefit” (51)
Dans une réponse plus complète au projet de loi, l’AFAC critiquait également l’absence d’une disposition d’interprétation, jugée « essentielle », pour « protéger d’importants droits collectifs tout en tenant compte des droits individuels », considérait que la période de transition de six mois était insuffisante pour préparer les collectivités à l’application de la LCDP et invitait « le gouvernement à ralentir pour faire en sorte que les choses se fassent correctement », puisque « cette mesure risque, en réalité, de faire plus de tort que de bien aux femmes autochtones »(51).