For example, animal testing has shown that PFOA is tumourigenic in rats, immunotoxic in mice, and showed reproductive or developmental toxicity and sub-chronic oral toxicity in rodents and monkeys.[62] [63] In addition, based on wildlife tissue samples archived over the last 30 years, there appears to be a trend toward increasing concentrations of long chain PFCAs in wildlife in the Arctic.[64]
Par exemple, les essais sur des animaux ont révélé que les APFO provoquent des tumeurs chez les rats, détruisent le système immunitaire chez les souris et ont des effets toxiques sur la reproduction et le développement des rongeurs et des singes, qui manifestent également des signes de toxicité orale sous‑chronique[62] [63]. Par ailleurs, selon des échantillons de tissus d’animaux sauvages archivés depuis 30 ans, on constate, semble‑t‑il, une tendance à l’augmentation des concentrations d’ACPF à longue chaîne dans la faune de l’Arctique[64].