What is of concern about Canada's slowness to act was that the minister knew since February, because a group of NGOs, including the Council of Churches, had met with him and told him that the Indonesian police and army were the accomplices of the militia and that intimidation tactics were beginning to be used.
Ce qui est inquiétant dans cette lenteur du Canada à intervenir, c'est le fait que le ministre, depuis le mois de février, savait—parce qu'un groupe d'ONG, incluant le Conseil des Églises, l'avait rencontré—que la police et l'armée indonésiennes étaient complices des activités des milices et que le travail d'intimidation avait commencé.