Since the DCI is limited to activities characterised as Official Development Aid, there was a legal vacuum for activities with developing countries which are based on mutual interest such as cultural and academic exchanges, technology exchanges, political dialogue, media support, among others.
L'ICD étant limité aux activités prévues au titre de l'aide publique au développement (APD), un vide juridique entourait les activités menées avec les pays en développement sur la base d'un intérêt mutuel, notamment les échanges culturels et universitaires, les échanges de technologies, le dialogue politique et le soutien aux médias.