This means that, in the case of domestic violence and physical abuse, a court cannot order the spouse who holds the interest in the reserve home, which is almost always the man, to leave the home even on a temporary basis.
À l'heure actuelle, il n'existe aucune protection pour les femmes autochtones qui vivent dans les réserves. Cela signifie que, en cas de violence familiale et de sévices physiques, un tribunal ne peut ordonner à l'époux qui détient les intérêts du foyer situé dans une réserve, et il s'agit presque toujours de l'homme, de quitter temporairement le foyer.