C’est tout à fait croyable que l’ancien premier ministre néo-démocrate de l’Ontario fasse en sorte qu’un travailleur du secteur de l’automobile de Windsor, ou un pêcheur de ma circonscription du Nouveau-Brunswick, ou un agriculteur acharné des Prairies placent leurs maigres avoirs sous l’expertise en matière de gestion d’une banque européenne, ou se fient au sens aigu des affaires des gens qui ont continué de prêter de l’argent aux gouvernements européens, longtemps après que leurs dettes eurent atteint la zone critique.
C’est tout à fait ...[+++] croyable que les contribuables canadiens, qui sont peut-être sur une liste d'attente pour une intervention médicale, doivent plutôt utiliser leurs économies pour refinancer l’intervention médicale dont a bénéficié un citoyen de la zone euro il y a 10 ou 20 ans et qui a été payée par des emprunts.