Finally, in relation to cost-benefit considerations, it is at least questionable whether a reduction in all transport-related CO2-emissions of just 0.26% (as calculated for an EU 2005 scenario with 1992 a base year on the basis of applying option B) and of NOx-emissions by 0.12% would justify considerable pressure on the competitiveness of the European aviation industry which would have to compete head-on with third country air carriers enjoying intra-Community traffic rights, as a side-effect of the cumulative effects of so-called open-sky agreements concluded by Member States.
Enfin, si on considère le rapport coût-avantages, on peut se demander si pour réduire de 0,26 % seulement toutes les émissions de CO2 liées au transport (chiffre correspondant au scénario UE 2005, dans l'option B avec 1992 comme année de base) et de 0,12% toutes les émissions de NOx, il serait justifié de soumettre la compétitivité des entreprises européennes de transports aérien à une pression considérable, alors qu'elles devront tenir tête aux transporteurs des pays tiers, qui pourront bénéficier de droits de trafic intracommunautaire comme conséquence indirecte des effets cumulés des accords "ciel ouvert" conclus par les État membres.