The author divided the sample of more than 10,000 students into three sub-populations: students in a priority education zone (ZEP), students attending schools covered by mechanisms set out in the municipal policy (DSQ, DSU, city contracts) and a group from non-ZEP and non-DSQ high schools. The ZEP schools had the largest proportions of students from working-class families (more sons of workers and employees, fewer children of executives and middle managers).
Portant sur une population de plus de dix mille élèves, l’auteur distingue au sein de l’échantillon trois sous-populations : les élèves des lycées classés en zone d’éducation prioritaire (Z.E.P.), les élèves fréquentant des établissements concernés par les divers dispositifs de la politique de la ville (DSQ, DSU, contrats de ville), et un dernier groupe, provenant de lycées qui ne sont ni en Z.E.P. ni en DSQ, C’est dans les établissements en Z.E.P. que l’on retrouve plus fortement une population issue de milieux populaires (plus de fils d’ouvriers et d’employés, moins d’enfants de cadres et professions intermédiaires).