Against
that background, we have been hearing that to fill the void that is perceived, and is real, in Canada because of the lack of players, if you will, or because there are very few players in the second
-tier retail banks, unlike in the United States and the U.K., and unlike in many countries in Europe, there is a fear that in Canada, because we have not got a well-developed, second-tier retail sector, there will be
severe competition problems if the me ...[+++]rgers take place and the main retail bankers are reduced from five or six down to, say, three or four.
Dans ce contexte, on nous dit qu'il faut remplir le vide qui est perçu et qui est réel au Canada à cause du manque de joueurs parmi les banques de détail de deuxième rang, contrairement à la situation qui règne à cet égard aux États-Unis, au Royaume-Uni et dans beaucoup de pays d'Europe. Toutefois, parce que notre secteur de détail de deuxième rang n'est pas très développé, on craint qu'il y ait de graves problèmes de concurrence au Canada si les fusions se font et que le nombre de grandes banques de détail tombe de cinq ou six à, disons, trois ou quatre.