The Auditor General tells us that there was little regard for value and that there were artificial invoices and contracts, or no contracts at all, which appear to have been designed to pay commissions to communications agencies while hiding the source of funding and the true substance of the transactions.
La vérificatrice générale nous dit qu'on s'est peu préoccupé de l'utilité des contrats et que des factures et des contrats factices, ou pas de contrats du tout, semblent avoir servi à verser des commissions à des agences de communication, pendant qu'on dissimulait la source des fonds et la nature exacte des transactions.