Despite the fears, the most likely scenario [11] is one in which labour mobility will be moderate to limited and will after a likely short upsurge just after the accession period - with some 250.000 persons per year - start declining again to fall below 100 000 persons per year before the end of the decade.
En dépit des craintes, le scénario le plus vraisemblable [11] est que la mobilité de la main-d'oeuvre connaîtra une évolution plutôt modérée et limitée puis, après une recrudescence qui sera probablement de courte durée juste après l'adhésion (environ 250 000 personnes par an), elle commencera à décliner à nouveau pour passer en dessous de 100 000 personnes par an avant la fin de la décennie.