Finally, the grave accusations of two senior magistrates of the White Russian Public Prosecutor’s Office, place the president himself, together with the country’s present Attorney General, in a very unflattering light: it is alleged that on their orders specially formed death squads liquidated no less than 30 citizens in the period 1998-2000.
Enfin, les sévères accusations portées par deux magistrats haut placés du ministère public biélorusse placent le président lui-même, ainsi que l’actuel procureur général du pays, sous un jour très peu favorable : sur leur ordre, des commandos de la mort spécialement constitués auraient assassiné pas moins de 30 civils durant la période 1998-2000.