Thus, when a doctor was suspected of abusing his or her discretion, a medical tribunal would have the authority and power to decide whether he or she could continue to write prescriptions and not a criminal court, as was the case in Canada.
Ainsi, si un médecin était soupçonné d’abuser de cette discrétion, c’est un tribunal médical qui aurait l’autorité et le pouvoir de décider si le médecin pouvait continuer à prescrire, et non un tribunal pénal comme c’était le cas au Canada.