About 13% of the off-reserve Aboriginal population had experienced a major depressive episode in the year before the survey, compared with 7% for the non-Aboriginal population, suggesting that Aboriginal peoples living in urban areas may experience feelings of alienation, isolation, marginalization and cultural dislocation.[243]
Ainsi, 13 p. 100 environ des Autochtones résidant hors réserve ont vécu un épisode dépressif majeur dans les 12 mois ayant précédé la tenue de l’enquête, contre 7 p. 100 pour la population non autochtone, ce qui donne à penser que ceux et celles qui résident dans les régions urbaines peuvent se sentir aliénés, isolés, marginalisés et coupés de leur culture.[243]