Part of that circumstance is related to the vast range of issues, and the fact that the study of girls’ lives cuts across so many different sectors that do not speak to each other—health, technology, education, social services, labour, aboriginal studies, immigrant studies, and so on.
Cette situation s'explique en partie par la grande portée des enjeux et le fait que l'étude de la vie des filles englobe de nombreux secteurs qui n'ont aucun lien entre eux — la santé, la technologie, l'éducation, les services sociaux, le travail, les études sur les Autochtones, sur l'immigration, etc.