Since statistical data clearly show that employing workers arriving from new Member States is not disadvantageous for old Member States, and on the contrary, it actually contributes to their economic development, the antagonism felt by citizens of the fifteen Member States must be reduced by all available means, and the European requirement of the free movement of labour must be laid down in national laws, in accordance with the transitional regulation.
Les statistiques montrent clairement que l’emploi de travailleurs issus des nouveaux États membres ne nuit pas aux anciens pays de l’Union, mais, à l’inverse, contribue en réalité à leur développement économique. Par conséquent, il importe d’utiliser tous les moyens mis à notre disposition pour réduire l’hostilité manifestée par les citoyens de ces derniers pays et d’intégrer l’exigence européenne de libre circulation des travailleurs dans les législations nationales, conformément aux règles de transition.