Immediately following the 1990-1994 incremental increases in the limit from 10% to 20% and during the subsequent five years, no adverse effect has been observed on any of the following: the Canadian economy, the Canadian-U.S. exchange rate, the ability of governments or corporations to finance debt, balance of payments, Canada's equity markets, and the availability of corporate financing, including the small business sector.
À la suite des relèvements progressifs qui ont porté ce seuil de 10 à 20 p. 100 entre 1990 et 1994, aucune conséquence dommageable a été constatée sur l'économie canadienne, le taux de change entre le Canada et les États-Unis, la capacité des gouvernements ou des entreprises à financer leur dette, la balance des paiements, les marchés canadiens des valeurs mobilières et les possibilités de financement des entreprises, y compris du secteur des petites entreprises.