We've had one or more submissions in the past in Ottawa from groups who advocate that even if someone has been convicted of a violent offence and even if we strongly believe that person will commit another violent offence when released, sometimes to the point where they state they will, we should still have a graduated release for this person under the belief that by not giving it to them, we would only be delaying the inevitable.
Il est déjà arrivé dans le passé à Ottawa que des groupes viennent nous dire que même si une personne a été condamnée pour un crime avec violence et que nous croyons fermement que cette personne commettra un autre crime violent lorsqu'elle sera libérée, parfois parce que c'est la personne elle-même qui le dit, nous devrions quand même libérer cette personne de façon graduelle parce que, si nous ne le faisons pas, nous ne ferons que retarder l'inévitable.