If Air Canada really wants to be more competitive internationally, any new subsidiaries, of which it hold 50% or less of the shares, have to—I repeat, have to—meet the linguistic obligations under Canadian law.
Si Air Canada désire véritablement être plus concurrentielle sur les marchés internationaux, ses nouvelles filiales, qu'elle en soit propriétaire à 50 p. 100 ou moins, doivent être assujetties, et je répète, doivent être assujetties aux obligations linguistiques selon la loi du Canada.