Deuxièmement : il est également tout à fait déterminant - cela aussi, notre collègue Brok l’a évoqué -, que nous réclam
ions de la majorité albanaise du Kosovo qu’elle trace très clairement une frontière, une ligne de démarcation très nette qui la sépare de tous les petits groupes - non pas des Albanais de Macédoine, mais des petits groupes, tels que l’UÇK ou d’autres organisations similaires -, qui agissent en Macédoine, ce qui ne se justifie absolument pas, puisque la démocratie règne en Macédoine - à la différence de la situation qui prévalait dans l’ancienne Yougoslavie et au sujet de laquelle je peux comprendre,
...[+++]dans une certaine mesure, que l’on ait pu recourir aux armes pour se défendre contre la terreur et la persécution.