What I fear, then, is that the entry into force will be delayed for a bit by quite a few cases brought either before the European Court of Human Rights or the ECJ itself – provided that that is a legal possibility, which will depend on the legal position – or before the national constitutional courts, and so we should, leaving considerations of substance to one side for the moment, apply the greatest of care when dealing with the formal aspects in order to save ourselves further embarrassment of the kind that we cannot afford on the international stage, and certainly not in relation to this issue.
Ce que je crains alors, c’est que l’entrée en vigueur ne soit retardée un certain temps à cause d’affaires portées devant la Cour européenne des droits de l’homme ou la CJE elle-même - pour autant qu’il y ait une possibilité de recours, ce qui dépendra de la position juridique - ou devant les tribunaux constitutionnels nationaux. Pour le moment, nous devrions donc laisser de côté les considérations de fond et agir avec la p
lus grande prudence dans le traitement des aspects formels; ainsi, nous pourrions nous épargner des complications que nous ne pouvons nous permettre sur la scène internationale, et encore moins dans le cadre de cette
...[+++]question.