I should like to put the following supplementary question to you: quite apart from anything else, when it comes in these cases to the right to visit foreign nationals, especially immigrants, wherever they are being held, and it is often in unofficial detention centres, can we guarantee or can we call on or persuade the Greek authorities to make visiting rights normal practice, at least for non-governmental organisations?
Je voudrais vous poser cette question supplémentaire : en dehors de toute autre considération, lorsqu’il s’agit dans ces cas-là du droit de visiter des personnes de nationalité étrangère, en particulier des immigrants, quel que soit l’endroit où elles sont détenues, souvent dans des centres de détention non officiels, pouvons-nous garantir ou pouvons-nous appeler ou persuader les autorités grecques d’intégrer les droits de visite dans leurs pratiques courantes, au moins pour les organisations non gouvernementales ?