According to the report, approximately 3.5 percent of employees at the five airports examined had criminal records, and about 5.5 per cent of clearance holders hired between January 2001 and May 2003 had criminal records.[11]
Selon ce rapport, environ 3,5 % des employés des cinq aéroports examinés avaient des casiers judiciaires et environ 5,5 % des détenteurs d’une cote de sécurité engagés entre janvier 2001 et mai 2003 avaient eux aussi des casiers judiciaires[184].