In this two-fronted attack on Quebec's autonomy, the first front being the fiscal imbalance—and I will come back to that—and the second being the administrative centralization required by the social union agreement signed in 1999 by all provinces, except Quebec of course, and the federal government, how can the latter justify such blackmail with regard to the funding it provides, when its share of health care costs has shrunk to 13% and its share of education costs has shrunk to 8%?
Dans cette tactique de deux prises, deux angles d'attaque sur l'autonomie du Québec, dont le premier est le déséquilibre fiscal—j'y reviendrai—et le deuxième est la centralisation administrative voulue par l'entente sur l'Union sociale signée en 1999 par toutes les provinces sauf évidemment le Québec et le gouvernement fédéral, comment ce dernier peut-il justifier un tel chantage sur son financement, alors qu'il ne fournit plus que 13 p. 100 du financement de la santé ou 8 p. 100 du financement du réseau de l'éducation?