Fourthly, the offices of the children's lawyer in the province of Ontario, the amicus curiae when it was in operation in Alberta, and the family advocate in British Columbia, and those other provinces that invoke a specie called guardian ad litem, do not act for children when they go before the court, as they not atypically do, and say they are there to articulate to the court what is in the best interests of the child.
Enfin, le bureau de l'avocat des enfants en Ontario, l'amicus curiae quand il existait en Alberta, le défenseur de la famille en Colombie-Britannique et toutes les autres provinces qui font appel à un personnage appelé tuteur à l'instance n'agissent pas pour le compte des enfants quand ils comparaissent devant le juge, du moins généralement, et ils disent qu'ils sont là pour expliquer au juge ce qu'est l'intérêt de l'enfant.