Both companies made the business decision to remain outside of the Auto Pact and, instead, chose to rely on their duty remission agreements with the Canadian government, knowing full well that these duty exemptions were time limited and would eventually expire.
Les deux sociétés ont décidé de ne pas adhérer au Pacte de l'automobile, choisissant plutôt de compter sur les accords de remise de tarif conclus avec le gouvernement du Canada, sachant très bien que ces exonérations de tarif devaient être limitées dans le temps et arriveraient un jour à échéance.