In light of statistics like that, would you, as chair, favour ending the policy of automatic release for violent offenders when the background clearly indicates that those offenders have records that don't merit early release before the conclusion of their full sentence?
À la lumière de ces statistiques, seriez-vous, à titre de président, disposé à mettre fin à la politique de libération automatique pour les contrevenants dangereux dont les antécédents indiquent clairement qu'ils ne méritent pas d'être libérés avant d'avoir purgé toute leur peine?