If we take as the basic reference for domestic jurisdiction the Canadian Charter of Rights and Freedoms, for example, which takes precedence over all other legislation in the country and which guarantees “the right to liberty of his person” (s. 7), it would probably be possible to decriminalize the offence of possession for personal use contained in the Conventions of 1961 and 1988 and enshrined in the Canadian legislation in 1961 and 1997.
En prenant par exemple comme base de référence de juridiction nationale la Charte canadienne des droits et libertés, qui a préséance sur toutes les autres lois au pays et qui garantit «le droit à la liberté de sa personne» (art. 7), il serait sans doute possible de décriminaliser l’infraction de possession pour usage personnel contenue dans les Conventions de 1961 et de 1988 et entérinée dans les lois canadiennes de 1961 et de 1997.