Firstly because we cannot accept the death penalty and secondly because the application of Sharia law affects defenceless women, accused of actions, such as adultery, which cannot be considered crimes; and thirdly because, furthermore, in the case of Amina Lawal, she has not received the least legal guarantees during the trial.
Tout d'abord, parce que nous ne pouvons accepter la peine de mort et, ensuite, parce que l'application de la charia touche des femmes sans défense, accusées de faits tels que l'adultère, qui ne peuvent être considérés comme des délits, et, enfin, parce que, dans le cas d'Amina Lawal, cette dernière n'a pas bénéficié des garanties procédurales minimales au cours du procès.