If my motion had been deemed votable and subsequently passed in the House of Commons, the government could have virtually put an end to the practice of asylum shopping and sharply curtailed queue jumping, leaving room for our overtaxed refugee determination system to focus on people truly in need of Canada's assistance.
Si ma motion avait pu faire l'objet d'un vote et avait été ultérieurement adoptée à la Chambre des communes, le gouvernement aurait presque pu mettre fin à la pratique du magasinage d'asile, réduire grandement le resquillage et permettre ainsi à notre système surchargé de détermination du statut de réfugié de s'occuper des personnes qui ont vraiment besoin de l'aide du Canada.