We feel that the strict limitation of the reasons for which the Member States may refuse to provide judicial cooperation solely to “essential interests,” thus excluding the notions of sovereignty, public order and national security in force up until now is a step forward, but is still inadequate.
La limitation stricte des motifs de refus d'entraide judiciaire aux seuls "intérêts essentiels" invoqués par l'État, qui dépasse ainsi les notions de souveraineté, d'ordre public et de sécurité nationale jusqu'ici en vigueur, nous semble un pas en avant, mais encore insuffisant.