They support themselves by kidnapping innocent people for ransom, by blackmailing companies—today, for example, there are 82 towns where beer and soft drinks cannot be sold, because they are not paying their quotas to the guerrillas—and by levying so-called taxes upon narcotraffickers, growers, processors, and shippers of cocaine.
Elles se financent en enlevant des innocents pour obtenir des rançons, en faisant chanter des entreprises—aujourd'hui, par exemple, il y a 82 villes dans lesquelles on ne peut pas vendre de bière ou de boissons gazeuses parce que ces villes ne versent pas le tribut exigé par les guérilleros—et en faisant payer de prétendues taxes aux narcotrafiquants, cultivateurs, transformateurs et expéditeurs de cocaïne.