Mr. Speaker, while the government swore that prisoners handed over to the Afghans were not at risk of being tortured, Brigadier General Laroche told us that on the ground—and he was on the ground—civil servants did not visit Afghan prisons often enough and, therefore, could not guarantee that detainees were not being tortured.
Monsieur le Président, alors que le gouvernement jurait que les prisonniers remis aux Afghans ne risquaient pas la torture, le brigadier-général Guy Laroche nous dit que sur le terrain, et il était sur le terrain, les fonctionnaires ne visitaient pas suffisamment les prisons afghanes, donc ne pouvaient pas s'assurer que les détenus n'étaient pas torturés.