The Commission believes that the links between migration and development offer a significant potential for furthering development goals, without constituting a substitute to enhanced Official Development Assistance (ODA) and improved policies that remain as necessary as ever to meet the Millennium Development Goals (MDGs) within the agreed timeframe[4].
La Commission considère que les liens entre migration et développement offrent un potentiel considérable pour servir les objectifs de développement, sans que cela remplace le renforcement de l'aide publique au développement (APD) et l'amélioration des politiques, qui demeurent plus nécessaires que jamais pour atteindre les objectifs du millénaire pour le développement, dans les délais convenus[4].