I will mention just three facts. Firstly, Nato has not banned depleted uranium weapons, and the fact that it has not banned them l
eads us to fear, to believe that they have been used, that they might even have been used more than once. Secondly, a statement by the US Secretary of State for Defence in January last year referred to an increase in radiation emissions from depleted uranium weapons in Afghanistan. Thirdly, a number of medical tests carried out – under very difficult conditions because of the situation –
in Afghanistan by a Canadian NGO found depleted ...[+++]uranium levels a hundred times as high as usual, due – it is extremely likely – to the use of depleted uranium weapons.Je me limiterai à trois faits : premièrement, l'OTAN n'a pas interdit les munitions à l'uranium appauvri, et le fait qu'elle ne les ait pas interdites nous fait craindre,
nous fait penser qu'elles ont été utilisées et qu'elles peuvent encore l'être ; deuxièmement, une déclaration du secrétaire d'État américain à la Défense qui, en janvier de l'année dernière, faisait état d'une augmentation des émissions de radiations d'armes à l'uranium appauvri utilisées en Afghanistan ; troisièmement, certaines analyses médicales menées - avec tous les désagréments que le contexte implique évidemment - en Afgh
anistan par une ONG ...[+++]canadienne, qui a relevé des valeurs d'uranium cent fois supérieures à la normale à la suite - c'est fort probable - de l'utilisation d'armes à l'uranium appauvri.