In the Committee’s discussions with the Committee on the Rights of the Child, Members emphasized that “implementation is key” to making the Convention work, and that for Canada to claim full respect for the rights and freedoms of children at home, it must improve its level of actual compliance with the Convention.[218] As noted by Professor Peter Leuprecht, the Convention has both a passive and an active component.
Dans les discussions que le Comité a eues avec le Comité des droits de l’enfant, les commissaires ont souligné que « la mise en œuvre est cruciale » pour que la Convention donne des résultats et que, pour pouvoir prétendre respecter intégralement les droits et libertés des enfants dans son territoire, le Canada doit accroître son degré de conformité effective à la Convention[218]. Comme le professeur Peter Leuprecht l’a déclaré devant le Comité, la Convention impose des obligations passives et actives.