How is it possible for the Prime Minister, or that minister, to stand up for Mr. Celil when the Chinese view him as something of a bumbling cold warrior who views Canada's second largest trading partner with such blatant suspicion and contempt?
Comment le premier ministre ou même la ministre d'État peuvent-ils défendre M. Celil si les autorités chinoises considèrent le premier ministre comme un froid et belliqueux personnage qui manifeste des soupçons et du mépris envers la Chine, le deuxième partenaire commercial en importance du Canada?