Under such circumstances, how can we let the federal government, when it decides finally to legislate in this area, use an entirely different model, that of a voluntary code of behaviour for businesses, rather than draw on the experience of Quebec, businesses, individuals, consumer organizations, the government and the access to information commission?
Quand on a un pareil journal de bord, comment peut-on accepter que, lorsque le gouvernement fédéral se décide enfin à légiférer dans ce domaine, il parte d'un tout autre modèle, celui du code volontaire de conduite pour les entreprises, au lieu de partir de l'expérience du Québec, des entreprises, des citoyens, des organisations de consommateurs, du gouvernement, de la Commission d'accès à l'information?