The federal treaty-making policy, first established in 1973, which this government in its folly in 1990 embraced holus-bolus, was originally designed to compensate native people for the loss of their traditional activities, but it has been expanded into a policy that now provides a cornucopia of economic and social benefits—lands, resources, taxing power, and self-government—all financially backstopped by the Canadian taxpayer.
La politique fédérale relative à la négociation de traités, établie d'abord en 1973 et que le gouvernement actuel, dans sa folie, a adopté avec enthousiasme en 1990, était à l'origine conçue pour indemniser les Autochtones de la perte de leurs activités traditionnelles, mais cette politique a été élargie pour devenir une espèce de corne d'abondance d'avantages économiques et sociaux—terres, ressources, pouvoir fiscal et autonomie gouvernementale—tout cela, avec l'appui financier assuré avec les deniers des contribuables canadiens.