Even worse, the bill fails to give the commissioner the right to subpoena witnesses, access cabinet documents or follow investigations into cabinet ministers' offices, the RCMP, the Canadian Security Intelligence Service, the Communications Security Establishment, or National Defence.
Pis encore, le projet de loi ne donne pas au commissaire le droit de citer des témoins à comparaître, d'avoir accès à des documents du Cabinet ou de suivre des enquêtes dans les bureaux de ministres, à la GRC, au Service canadien du renseignement de sécurité, au Centre de la sécurité des communications, ni au ministère de la Défense nationale.