They range from a risk level zero, which is essentially operating on home turf just on a routine basis in, let's say, Canadian Forces Base Edmonton, something like that, which would have a zero-risk rating, for instance, right up to a risk level four, which would probably be similar to the situation faced by the 3rd Battalion of the Princess Patricia's in Afghanistan in the 2002 rotation.
Elle variait du degré de risque zéro, qui signifie essentiellement que les militaires sont au pays et qu'ils font du travail de routine, disons, à la BFC Edmonton, quelque chose du genre, qui aurait une cote de risque de zéro, par exemple, jusqu'au degré de risque quatre, qui correspondrait probablement à la situation qu'a connue le 3 Bataillon du Princess Patricia's Canadian Light Infantry en Afghanistan au moment de la rotation de 2002.