Unless the interest of the Canadian resident beneficiary could be segregated in a separate trust, which is probably not feasible, or the Canadian resident could be persuaded to give up his or her interest, which wouldn't be fair, the foreign trustees are placed in a quandary.
Les fiduciaires non résidants se retrouvent dans l'embarras à moins de séparer le droit de bénéficiaire des résidants canadiens dans une fiducie distincte, ce qui n'est probablement pas faisable, ou qu'on persuade un résidant canadien de renoncer à son droit, ce qui ne serait pas équitable.