To resolve this dilemma, I would say that the least we could do — even though we cannot completely resolve the dilemma — is to let the Iranian population know in no uncertain terms that we are not just thinking about the nuclear aspect. We are also thinking about human rights and democracy in Iran.
Pour sortir de ce dilemme, je dirais que la moindre des choses qu'on puisse faire, même si on ne peut pas résoudre totalement ce dilemme, c'est de faire savoir très clairement à la population iranienne que nous ne pensons pas seulement au nucléaire et que nous pensons aussi aux droits de la personne et à la démocratie en Iran.