This would contrast with the present situation in which the Commission itself assumes the power and uses its monopoly on initiatives, its 3 000 secret working parties and its access to the Court of Justice to centralise ever more power in Brussels.
Voilà qui trancherait avec la situation actuelle, qui prévoit que la Commission s’attribue le pouvoir et utilise son monopole en matière d’initiatives, ses 3000 groupes de travail secrets et son accès à la Cour de justice pour concentrer encore plus de pouvoir à Bruxelles.